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Trail de GRAND BRASSAC
- 14 & 15/02/2009 -

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Le lendemain matin, 7 heures et -7 degrés dehors, ce n'est pas la même musique. Si certains se demandent quelle tenue ils vont mettre, d'autres se demandent tout simplement s'ils vont repartir.
Le mieux, c'est encore d'aller au petit déjeuner, où l'organisateur nous accueille avec des oeufs pochés, du jambon, des pommes de terre, de la semoule au lait, et du traditionnel pour un p'tit dej', à savoir pain, beurre, confiture, café, chocolat... Et bizarrement, tout y passe : des vrais goinfres !
Les Alain ont plus d'appétit que la veille au soir, et une fois le ventre bien rempli, on se pose moins de questions. Allez hop, il est temps de rentrer de changer. Tout le monde est attendu au départ... après une petite séance photos.

 

Le matin, on refait les 18 kilomètres de la veille, histoire de découvrir par où on est passé, avec un petit bonus de 10 kilomètres tout aussi plats que les autres. Un vrai régal pour les yeux, beaucoup moins pour les muscles. Et que je te grimpe par ici et que je te descends par là. Et rebelote derrière avec un filet avant une petite pause bien venue dans une maison troglodyte. T'en redemandes ? Pourquoi pas une corde pour descendre ce flan de colline. Ca y est, tu es en bas, ben remonte donc maintenant, on te tend même la corde. Une fois en haut, quelques mettre et... dommage : le chemin s'arrête ! Qu'à cela ne tienne, une corde t'attend, il te reste à descendre à nouveau et une fois en bas, devine... Et oui, on remonte.
Je retire ce que j'ai dit : 
finalement Grand Brassac, c'est grand. Et je confirme : c'est valonné, très valonné !

 

Autant dire que le repas du midi sera apprécié à sa juste valeur. Bon OK, avant on prend une douche avec le filet d'eau chaude qui coule toujours, même pour les derniers, on prend une petite mousse, ou plus si affinité (c'est à volonté), et surtout on récupère. Après, seulement après on est en état d'apprécier la soupe, la poule au pot et le reste.

Et à l'heure du départ, le bilan se fait dans le bus. Tout le monde a apprécié l'ambiance, le parcours et le reste. Personne n'est blessé (ou presque), alors ça se fête. Et l'année prochaine, si tout va bien... pourquoi pas !

Un grand merci à JO, notre chauffeur-photographe-intendant-supporter.

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Page  mise à jour le 23/02/2009